
À mi-chemin entre poésie de Vieux continent
et mélodies issues des grandes étendues de la sauvage Amérique
CIl y a du Barbara, du Reggiani, du Moustaki dans les chansons de Baptiste W.Hamon. Au même titre que du Leonard Cohen, du Steve Earle, du Bob Dylan, du Phil Ochs…
Comment cohabitent, s’enlacent même ces influences doit rester un mystère. Mais le croissant et le whisky sont en claire bamboche sur le nouvel album de Baptiste. Sur Soleil, Soleil Bleu, il nous recevait avec un sérieux Bloody Mary à la main.
Ce troisième album répond par un drolatique Boire Un Coup. Car après l’alcool triste, après l’ivresse espiègle d’un album entièrement enregistré avec le Toulousain Barbagallo (Barbaghamon, 2021), est arrivée l’heure de l’alcool guilleret.
Trois ans après la sortie de « Soleil, soleil bleu » , Baptiste W. Hamon nous présente un troisième album « Jusqu’à la lumière » entre pop, chanson et americana, enregistré par le maître orfèvre de la scène alternative anglo-saxonne John Parish.